Me voici avec un pistolet prête à flinguer tous les mythos et les parasites.
De qui je parle? De tous ces mecs qui nous vendent la lune à nous les femmes juste pour une bonne baise bien arrosée ou qui inventent des histoires dont ils sont les seules à y croire.
J’ai rencontré un type dernièrement avec lequel je m’entendais assez bien. Nous étions juste amis. Il m’a acheté quatre peintures, non, cinq en fait, quatre petites et une grande. Il allait soit disant les exposer à l’ambassade italienne, puis les montrer à Albert Frère (qu’est ce qu’il en a à foutre) et que j’allais même avoir une photo de lui avec une de mes toiles en fond.
Bref…Jusqu’au jour où il m’a inventé un projet à faire d’une fresque dans un style art nouveau (oui je peins aussi) dans une maison d’horta. Là j’en ai eu marre et j’ai fait passé le mot autour de moi comme quoi il était mythomane. Bien sur c’est venu à ses oreilles. Il se fâcha si fort qu’il me menaça. -“J’vais te péter en deux tu vas voir! Prends moi bien au sérieux!”, m’a-t-il dit. Trois jour après je le rencontrai dans la rue , il recommença à crier -“Je t’avais prévenue!”. Je n’ai rien vu venir…Normal c’est un mytho.
Vous allez me dire que c’est une histoire à la con que je vous raconte là mais ça m’a fait du bien de vous l’écrire. En effet je ne rencontre que des mecs qui veulent mon cul ou qui me mentent. Heureusement que je suis une maitresse qui continue à aimer les hommes (parce qu’il y en a peu qui sont bien) et qui les respectent quand je les retrouve les fesses bien rebondies, en l’air, prêtes à êtres flagellées sous mes fessées et plus encore. Heureusement que je suis une femme sans haine ni méchanceté qui ne juge pas ces malheureux malgré le fait que je continue à leurs dire de prime abord -“Ne dis pas ce que tu ne fais pas.”.
Mais surtout heureusement que je vous ai vous, mes SOUMIRANTS (petite abréviation personnelle entre soumis et soupirants) car avec vous j’ai une relation saine, un échange d’amour et d’amitié, des moments profonds, intenses sans le moindre mensonge, dans une intimité propre et désintéressée.